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En ce moment, les SCPI sont devenus de plus populaires. En effet, cette société civile de placement immobilier s’affirme comme être un placement sécurisé pour les épargnes, mais aussi pour investir. Dans cet article, nous allons voir les différentes notions en général sur les SCPI.
La définition de la SCPI
Les sociétés civiles de placement immobilier couramment appelé SCPI sont des grands ensembles d’immeubles différents selon leur localisation et selon leur typologie. Effectivement, il ne s’agit pas du simple système de location d’appartement ou d’immeuble que l’on peut voir ordinairement. Avec les SCPI, il y a différentes locataires, dont les géants des télécoms, les leaders de l’agroalimentaire, mais aussi les autres entreprises et commerces. Les actifs sont répartis géographiquement, sur toutes les villes de France qui sont concernées. Et même, il y a des SCPI qui sortent de la frontière de l’Hexagone.
De nos jours, on peut compter environ 163 SCPI et moins de 30 sociétés de gestion. Leur recette est vraiment très profitable qu’en 2014 ils ont pu collecter 3 milliards d’euros.
En principe, le terme SCPI se raccorde le plus souvent à « pierre papier », parce cette appellation caractérise l’investissement. Ainsi, l’investisseur n’est pas propriétaire de l’ensemble de l’immeuble, mais seulement d’une partie. Mais il profite des avantages d’un immeuble de qualité. Pour plus d’information, veuillez consulter https://scpifrance.com.
Un investissement porteur pour tous
Les associer dans une SCPI perçoit un loyer que l’on peut assimiler comme un revenu foncier dont le montant est défini en fonction de l’investissement qu’il a fait au début. ON peut trouver plusieurs types de SCPI, mais la SCPI de rendement annonce de bons profits. C’est l’une des meilleures alternatives. On peut avoir jusqu’à 5,08 % de profit. Ainsi, le revenu que l’on va percevoir pourra compléter le salaire ou la pension de la retraite.
Fiscalité des SCPI
Les revenus des porteurs de parts de SCPI reçoivent 2 types de revenus pour lesquels ils sont taxés directement au titre de la transparence (article 239 septies du CGI). Ces revenus proviennent des revenus locatifs ou des revenus financiers que les SCPI obtiennent, par exemple, en plaçant des fonds en quête d’investissement.
Les revenus locatifs sont taxés à l’impôt sur le revenu selon les dispositions de la fiscalité foncière et sont assujettis aux prélèvements sociaux (17,2 % depuis le 1er janvier 2018). Les gains provenant des plus-values immobilières dégagées par la SCPI (et reversées aux porteurs) sont imposés après application d’un abattement pour durée de détention. Il faut attendre 22 ans pour échapper totalement à l’impôt et 30 ans pour couper aux prélèvements sociaux.